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contre temps

#1
08/02/2004 04:25:14
bonsoir...ou bonjour je sais plus trop...

est ce que quelqu'un pourrai m'expliquer ce que c'est que jouer en contre temps?
^parce que si je doit faire ça :
"2 - Le reggae , c'est simple, prends comme base le " contre temps " et joues avec, le reste se sont les rythmiques qui organisent ( claviers, batt/percus ,guitares )."
alors que je sais pas ce que c'est ava etre compliqué:-S

s'il vous plaiiit
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#2
08/02/2004 04:35:56
Le contre temps c 'est ce qu'il ya entre 2 temps. divise le temps en 2 et tu trouves le contre temps...
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#3
08/02/2004 04:36:10
Dure les explications a cette heure.... :-S
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#4
08/02/2004 08:20:46
Si tu comptes ta mesure a 4 temps par exemple, tu n'a qu'a compter 1 et 2 et 3 et 4. Ben le contre temps c'est ton "et".
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#5
08/02/2004 11:27:07
oui apres il y a le fait de jouer devant le temps ou derrière le temps ... ou encore les polirythmies c'est a dire sur un rythme 1 2 3 1 2 3, ben tu vas jouer dessus en 1 2 3 4 5 1 2 3 4 5 ca va "syncoper" ton morceau suivant le temps que tu vas accentuer, voila en gros le contre temps, ca peut être pas mal de choses ...
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#6
08/02/2004 13:31:42
..............

Ludo ne l'embrouilles pas

jouer le contre temps , c'est marquer le "et"
comme le disait ????????

1234

1 et 2 et 3 et 4

Dans le reggae c'est la guitare qui marque le contre temps ( pour simplifier ) .

L'idée c'etait de t'expliquer que cette guitare, tu dois jouer quand elle ne joue pas ,
donc sur le temps, comme une " question reponse" .

Ce que disait Ludo est egalement tres juste mais c'est une 2eme notion, le fait de jouer au fond du temps s'ignifie que :

tu joues sur le temps en trainant volontairement comme si tu avais fumé 3 petards avant ( c'est ça le reggae )

Voici un exemple :

stir it up de Marley

ecoutes bien la basse et la guitare rythmique tu vas comprendre ...



j'espere que c'est plus clair pour toi ...

sam
nb: merci à Bob
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#7
08/02/2004 13:58:26
ça y est j'ai compris !!!

merci sam et les autres

maintenan me faut trouver un metronome pour jouer
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#8
08/02/2004 15:17:54
à defaut, metronome de guitar pro.. sinon un petit metronome format oreillette, ca vaut 15-20€ je crois... (faut vraiment que j'en achette un :s)
Slappyto (16.5€ chez thomann)
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#9
09/02/2004 20:34:10
beurk!!
ca fait plus gadget qu'aure chose...

sinon le contre temps, ben tout est dit!!
le contre temps n'est pas l'element majeur du reggae, on le retrouve plus dans le ska (2 tones), bien que le reggae soit a la base du ska
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#10
09/02/2004 21:44:55
le contre temps mon pote, c'est le Ska par excellence
toute les rythmiques guitares sont ç contre-tps en Ska
entre deux pulsations de métronomes, tu trouves le contret
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#11
09/02/2004 21:49:09
kurt je me permet de te préciser que c l'inverse.
Le sKa est antérieur au Reggae
Cf premier groupe de Bob M
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#12
09/02/2004 22:04:35
heu oula il était grand le copier coller :-S:-S

bon ben voila comme ça au moins tout le monde sais ce que c'est que le reggae, le dub...etc
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#13
09/02/2004 22:05:41
aller hop t'en qu'a faire

Les origines du reggae

Au départ, il y a le mento, la musique locale traditionnelle jamaïcaine. Le ska, le rocksteady et le reggae lui ont pris le jeu à contretemps de la guitare rythmique, qu’on nomme afterbeat ( un ET deux ET trois ). C’est la seule continuité existant d’une période à une autre. Les traditions folkloriques étaient très fortes, comme par exemple le tambour " nyabinghi " jamaïcain, issu des tambours burru africains.

Les masses de Jamaïque n’ont pas eu de radio avant les années 50, et la musique jouée en public était de fait très importante. Les gens écoutaient surtout la musique des bigs bands et allaient danser au bal sur du rythm and blues avec cuivres.

Un endroit, le Community Center, devient un lieu de rencontre de musiciens branchés, en particulier ces jazzmen qui constituent, dans les années 50 – 60, l’élite consciente de la Jamaïque. Le résultat de leurs bœufs faramineux prend peu à peu forme. En 1964, les jazzmen qui fréquentent le centre prennent le nom de Skatalites.


Après le ska vient le rocksteady, puis le reggae.

Du ska au rocksteady : les années 60

Le ska s’est développé en Jamaïque avec l’avènement des années 60. Ce fut la 1ère musique jamaïcaine à être reconnue sur le plan international.

Cette musique était au début à peine différenciable du rythm and blues américain. Celui - ci avait été extrêmement populaire en jamaïque, mais quand son succès commença à décliner, les gros propriétaires de sound systems ( discothèques mobiles conçues à la fin des 40’s ) produisirent leurs propres versions pour satisfaire leurs clients. Les disques étaient alors testés sur les sound systems avant leur sortie commerciale.

L’ innovation stylistique devint une condition sine qua non pour se maintenir en tête d’ une compétition devenue féroce. Le renforcement de l’afterbeat donna un schéma rythmique qui acquit rapidement un nom : Le ska. En 1962, il était déjà établit.

Son répertoire varié finit par comporter des chansons traditionnelles (menta), du gospel revivaliste et des adaptations de musique populaire latine et américaine, mélangées en un tout absolument unique. En quelques années, la Jamaïque avait développé une culture musicale populaire étonnement profonde.

Au milieu des 60’s, elle regroupait des groupes vocaux (comme les Maytals, les Wailers…), des duos et des chanteurs solos (comme Jimmy Cliff et Desmond dekker). Une autre direction était représentée par les instrumentaux ska que jouaient des groupes comme les skatalites.

A cette période, de grandes soirées favorisaient un style de danse plus calme, aux mouvements plus lents et plus subtils. Bientôt, la musique fut faite sur ce modèle, plus lente que le ska mais avec un rythme plus saccadé. La basse en particulier était plus libre, ce qui laissait de l’espace aux autres instruments et libérait le jeu des musiciens. Ce style devint connu sous le nom de rocksteady. Son rythme permettait aux chanteurs jamaïcains plus influencés par la soul d’ exploiter à fond leur capacités. Desmond Dekker atteint des sommets internationaux. La musique résista aux années, spécifiquement jamaïcaine et pourtant porteuse du message positif de la meilleure soul américiane ( Sam Cooke, the Miracles).


Le reggae : les années 70

Alors que le rock steady était détendu et sentimental, les premiers disques de reggae se caractérisaient par des rythme plus rapides, haletant et funky.

La légende veut que le producteur Clancy Eccles ait inventé le mot reggae d ‘ après le mot d’ argot de Kingston pour " trainée ", " streggae ". D’autres versions racontent que le nom vient de " ragged " ou " raggamuffin ", la musique des voyoux, des pauvres.

En Jamaïque, Bunny Lee et Lee Perry commencèrent à ralentir le rythme. Le premier fit construire à ses musiciens un rythme à effet saccadé et vacillant, idéal pour une danse du nom de skank. A la suite de leur collaboration avec le second, Bob Marley et les Wailers signèrent chez Island et entreprirent la conquête du monde. D’autres groupes vocaux ( Mighty diamonds, Culture, Gladiators…) suivirent à leur tour le même chemin, et gagnèrent encore un plus large public au reggae. Les dreadlocks devinrent un atout commercial, et beaucoup sautèrent dans le train " Natty Dreads ". La nouvelle génération de chanteurs solo comme Grégory Isaacs ou Dennis Brown parvinrent tous à allier racines et romance avec succès.

Avec du recul, deux autres innovations introduites par le développement du reggae sont sans doute toutes aussi importantes que le message culturel et " origines " transmis par Marley et ses semblables.

A / Le dub

Il serait vain de rechercher les origines de cette pratique tant elles sont diverses. Déjà à l’époque du ska, on pouvait entendre des arrangements excentriques ainsi que certains effets sur des disques. Ces techniques musicales sont pourtant, à peu de chose près, l’œuvre d’un seul homme : Osbourne Ruddock, génial électronicien plus connu sous le nom de King Tubby. Dès 70, il remixe de vieux rocksteadys, en " shuntant " (baissant) la voix la plupart du temps, privilégiant ainsi la section basse – batterie, et saupoudrant çà et là quelques instruments passés par des effets ( ex : Delay ). Le dub était né.

Jusqu’en 73, le mouvement s’amplifia et dès lors, il fut une forme artistique reconnue
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#14
09/02/2004 22:06:40
La suite! La suite!
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#15
09/02/2004 22:09:39
la suite c'est pas assez ça ???
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#16
09/02/2004 22:10:26
Yo tu connais bien ton sujet et tu as parfaitement raison .

Une info à moins que vous la connaissiez, le titre de Marley/wailers " I shot the sheriff "
s'appelait au depart " I fuck the sheriff " censuré par les radios, il l'a ré-enregistré en changeant les paroles et a été reprise et popularisée par qui vous savez .

Le titre d'origine etait joué ska , assez rapide, alors que les version precedentes ( et non pas anterieures kurt )sonnent vraiment raggae .

C'est marrant le dub/raggae m'attire beaucoup en ce moment, tiens, je m'écouterais bien un "Babylone by bus " , là comme ça ...

sam



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#17
09/02/2004 22:17:53
c cool...

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#18
09/02/2004 22:35:45
.......... , j'espere que c'est pas du copier/coller mais je sais que c'est pas ton genre .

ben dis donc, tu t'es documenté là

Je rajouterais que le message est aussi important dans la musique, et le message " reggae" est assez particulier .

Faut-il avoir des logs pour bien jouer raggae ?


sam
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#19
09/02/2004 22:46:29
Merci à Sam et à .... ainsi qu'à tous les autres !
ça fait chaud au coeur un post où au lieu de s'insulter les gens échangent des infos et du coup vont se coucher un peu moins con...
J'aimerai bien avoir plus d'info sur Osbourne Ruddock alias King Tubave... Quel maître !!!
à propos de I shot the Sherif la majorité des gens croient que c Clapton qui là écrite...
D'après mes infos, c Bob (comme le mosieur le disait précédemment) qui l'aurait reprise le premier... Je dis reprise parce que j'ai lu que le thème de cette chanson était un fait un vieux chant jamaïcain dont Bob aurait détourné les paroles...
S'il y en a qui ont des infos sur cette histoire, ça m'intéresse !
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#20
09/02/2004 22:51:22
bah c quoi le message du Jazz puisque le message très important dans la musique...
Moi je crois que ce qui est important dans la musique, c pas le message, c la musique !
Une musique a't'elle vraiment besoin de porter un message ? la réponse n'est pas si évidente
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#21
09/02/2004 23:05:36
le jazz ? tu n'as pas l'impression qu'à cette epoque l'Amerique etait en plein Apartheid ? n'oublies pas que le jazz c'est black Americain , comme le ragtime le blues et comme le ............... gospel, c'est l'origine de toutes ces merveilles ... la soufrance d'un peuple, le seul truc dont ils avaient droit, c'est de chanter, faut pas oublier ça !!!

la musique est un message, c'est la façon d'amener une idée , une revolte, en tout cas d'exprimer un sentiment quel qu'il soit ...

Meme en classique, on a rajouté des mots.

Regardes le Punk, c'est quoi , c'est une jeunesse qui ne croit plus à rien ( le fameux no future !! ), avant c'etait les 70' la liberation sexuelle , plein de trucs historiques , il faut remetre l'origine d'un syle dans son contexte, ça fait voyager , on s'instruit et c'est bon

sam



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#22
09/02/2004 23:46:02
sam > ben si c'est du copier coller .."heu oula il était grand le copier coller ' m'enfin bon j'ai chercher un truc qui était assez potable aussi avant de la copier


oui faut pas croire non plus que le punk c'est "fille alcool etc"..ya des groupes qui passe des messages...enfin bon c'est sur que c'était mieu avant comme dit sam avec le 'no futur"..je croi qu'on oubli souvent ce que c'était la music a la base..
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#23
09/02/2004 23:50:34
herm..."J'aimerai bien avoir plus d'info sur Osbourne Ruddock alias King Tubave... " ai fait une tite recherche...j'ai pas tout lut mais bon ya en plus les debut du dub

1970-1980: King Tubby

Tout commence à la fin des années 60, à Kingston, Jamaïque, aujourd'hui devenue la capitale mondiale du reggae. Osbourne Ruddock, futur King Tubby (de l'anglais "tube", en référence à un sobriquet d'enfance raillant son embonpoint), producteur de reggae et passionné d'appareils électriques en tous genres (radios, téléphones...) qu'il démonte, transforme et remonte à longueur de journée, expérimente de nouvelles techniques de mixage en gravant ses "dub plates". Le terme, traduction littérale de "disques (plates) copiés (dub)" désigne des "laques", c'est-à-dire des disques en acétate de cellulose servant de disques moules utilisés pour graver en série les disques vinyles. Les DJ jamaïcains de l'époque avaient beaucoup recours à ces laques, exemplaires uniques qui leur servaient à tester sur le public leurs morceaux dans les soirées et autres sound systems de l'île, dans lesquels ils se produisaient. Si leurs dub plates suscitaient l'enthousiasme, ils étaient ensuite pressés officiellement sous la forme de vinyles destinés à la commercialisation.

En 1968, King Tubby, alors propriétaire du studio "Tubby's home town hi-fi", a l'idée de graver ses dub plates de manière à amplifier l'espace sonore du couple basse/batterie, en atténuant les voix sous des effets de réverb. Sans le savoir, il créé ainsi le dub, qui deviendra plus tard un style de production à part entière. La petite histoire veut que cette prétendue expérimentation soit en réalité née d'une erreur de manipulation, mais le propre de la petite histoire est qu'elle est invérifiable, et si elle séduit par sa cocasserie, il ne faut lui accorder qu'un crédit limité. Du reste, peu importe que King Tubby ait inventé le dub volontairement ou inconsciemment, le fait est que c'est par lui que tout est parti, et le consensus est total sur ce point.

En 1972, l'acquisition d'un magnétophone à deux pistes lui offre la possibilité d'expérimenter de nouveaux effets de sons pour la plupart bricolés par ses soins sans pour autant devoir les graver sur laques. Il utilise pour cela des musiques réalisées par des musiciens comme Lee Perry ou Bunny Lee; n'oublions pas que Tubby est avant tout un producteur, et que toutes ses expérimentations autour du dub se sont faites à partir des disques des autres. Troquant rapidement son deux pistes contre un quatre pistes, il peut alors séparer les parties de basse, de batterie et de voix des autres instruments et réaliser des mixages plus élaborés, laissant libre cours à son imagination débridée. Le terme "dub plates" se raccourcit et devient "dub", mutation s'accompagnant d'un glissement sémantique: le dub devient la dénomination couramment utilisée pour désigner les versions remixées, sans les voix le plus souvent, des titres de reggae. Il semble que le raccourci soit apparu pour la première fois dans les Sound Systems jamaïcains de l'époque, ou le public, de plus en plus demandeur de ce type de remixes, réclamait des "dubs" plutôt que des version chantées.

Le dub restera cette variante bidouillée du reggae pendant vingt ans, avant de connaître un nouvel essor au début des années 90 en Angleterre. Néanmoins, certains musiciens jamaïcains oseront entre temps franchir le pas en composant des albums intégralement dub, qui sortent dans la première moitié de la décennie 70; ces téméraires se comptent sur les doigts d'une main; citons Lee "Scratch" Perry, et son légendaire "Blackboard jungle dub" (sur le label Upsetter, mixé par King Tubby) où des effets stéréo apparaissent pour la première fois, Linton Kwesi Johson, fer de lance du mouvement "dub poetry", Errol T, Keith Hudson ("Pick A Dub", Joe Gibbs ("African Dub", ou Augustus Pablo, célèbre pour avoir popularisé le mélodica, et dont l'album "King Tubby meets rockers Uptown" repose au Panthéon discographique de beaucoup de puristes.
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#24
10/02/2004 00:07:05
" enfin bon c'est sur que c'était mieu avant comme dit sam "

mais j'ai jamais dis ça moi je fais du stoner/metal et de l'electro/jazz , j'aime pas la starac', c'est tout ( et encore des fois suivant les costumes j'ai bien aimé ...

sam
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#25
10/02/2004 00:31:36
Tien en parlant electro jazz sam, tu connais Squarepusher? Je lui fait de la pub sur les forum, mais personne n'écoute... C'est vraimnet bien surtout les premier album, le dernier est vraiment trop house...
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#26
10/02/2004 00:44:52
11

scuse yo, j'ai inverser. c'est bien le ska qui est a l'origine du reggae, et c'est bien dans le ska qui a le fameux contre temps carracteristique qui est present dans le reggae, certe, mais bien moin que dans le ska.

pour completter le jolie post de ......, on peut dire que dans les sound system de l'époque, il y avait beaucoup de gansters (les rude boys) sappé en costard.
c'était une musique de rebel, et les radios ne passaient pas ces titres.
d'ou la création des sound system, qui étaient, la plupard du temps, une charette avec de la sono. cela permettait au amateurs de se délécter du "2-tones" de l'époque.
ben ouai, parce qu'en ce temps la, yavais pas beaucoup de rude boys qui avaient des vinyls.

-->.........
tu nous sort un beau post sur tubby, mais tu pourrais en faire un sur lee "scratch" perry, qui est pour moi l'Homme (avec un grand H) du bidouillage en tout genre. C'est un personnage exentrique (qui a fait quelques entourloupes a bob enter autres), bref un génie au sens brut du terme.
il a une place capitale dans le dévellopement du reggae.
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#27
10/02/2004 00:49:29
pour tout les amateurs de bob a ses débuts je conseille la compile "gold colection" avec quelquechose comme 22/24 titres vraiment terrible.
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#28
10/02/2004 00:51:21
-->TaoPaïPaï

tu peut balancer des titres de Squarepusher??

(ya pas que sam qui aime la ziq)
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#29
10/02/2004 00:56:52
ah oui chu bien d'accord avec kurt

sam > je disai ça pour le "no futur"..

bon ya qu'a demander :

LEE PERRY

Lee Perry, Rainford Hugh Perry de son vrai nom, connu sous divers pseudonymes (Scratch, Pipecock Jackxon, Super Ape, Ringo, Emmanuel, The Rockstone, Small Axe...), est avec King Tubby une figure incontournable et légendaire de l'histoire du dub, en ce qu'il a largement contribué à son invention. Si la plupart des spécialistes s'accordent à attribuer la paternité du dub à King Tubby, il serait injuste de ne pas reconnaître à Lee Perry le rôle essentiel qu'il a joué dans sa genèse, ne serait-ce qu'en tant que musicien. Car Lee Perry est un des premiers à s'être aventuré dans le dub stricto sensu avec son groupe The Upsetters, au début des années 70, parallèlement aux expérimentations de son confrère et ami Tubby. Ces deux noms sont du reste intimement liés; en 1975, King Tubby produisait "Blackboard jungle dub", un des trop rares albums intégralement dub de Lee Perry. En attendant une biographie un peu plus consistante de l'artiste, intéressons nous à la partie la plus dub de sa production discographique.

http://perso.wanadoo.fr/lombric/mp3/Lee%20Perry... TYPE="video/x-ms-wmv" WIDTH="320" HEIGHT="240" AUTOSTART="0" PLUGINSPAGE=" http://microsoft.com/windows/windowsmedia/download/default.asp" SHOWSTATUSBAR="1" SHOWDISPLAY="0" SHOWCONTROLS="1" > Lien du média



hum je decouvre..
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#30
10/02/2004 01:01:52
bon je vais citer ma source quand meme
http://www.dubzone.org/mp3.htm

c'est la que j'ai commencer a aimer le dub

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